Toile Galerie (profil 1.5 po)
48 x 48 po
1/1 (unique)
Acrylique, crayon graphite
Sixième de la série Nostalgie 90.
Dans ma boîte à souvenirs, il y a…
L’i-Zone de Polaroid. Je l’ai reçu au printemps de l’an 2000, j’étais fascinée par son style rétro-futuriste, mais encore plus par les photos adhésives au format de poche qui en sortaient comme des banderoles colorées. Mon chat César était mon modèle principal, mais durant l’été du nouveau millénaire, mon i-Zone a capturé plus d’un moment magique.
Un Hit Clips de Tiger Electronics. En 2001, mon vieux walkman Sony jaune fluo que j’aimais tant s’est volatilisé. En attendant de le remplacer, j’ai réussi à convaincre ma mère qu’un micro-lecteur Hit Clips serait l’idéal pour écouter de la musique. À la seconde où j’ai mis l’unique écouteur dans mon oreille, j’ai compris que c’était loin d’être idéal.
Le premier Beanie Babies du Joyeux Festin. Ma mère a longtemps refusé que je mange chez McDonald’s. La première fois que j’y suis allée coïncidait avec la sortie des Teenie Beanie Babies. Une fois par semaine sortait une mini version d’une peluche originale, la première des 10 qui sont sortis en 1997 était Patti l’ornithorynque, une joie pour les enfants, mais surtout pour tous les collectionneurs de Beanie Babies.
Un Polly Pocket Palomino. Un petit coffre qui s’ouvre comme un coquillage sur un monde imaginaire qui tient dans la main. Un cheval jaune, une petite fille, un établi, un grand manoir, 1001 histoires à inventer. Le modèle Palomino (1995) reste mon préféré jusqu’à ce jour (petite exception pour le manoir magique de 1993).
Dans mon Caboodles mauve et bleu se cachent tant de mes trésors d’enfance les plus précieux. Un sanctuaire de souvenirs qui raconte mon histoire de manière presque linéaire, agissant comme des marqueurs temporels qui me replongent dans ces instants, comme un film projeté dans ma mémoire.
Collection privée